Nora BALLAND

Orthophoniste à Paris.

Patrick CHAUVEL

Neurologue, ancien chef du Service de Neurologie de l'Hôpital Pontchaillou à Rennes. Responsable du laboratoire de neurophysiologie et de neuropsychologie • Service de Neurophysiologie clinique à l'Hôpital de la Timone à Marseille.

Laurent DANON-BOILEAU

Professeur de linguistique à l'Université René Descartes (Paris V), chercheur au CNRS, psychanalyste SPP et psychothérapeute au Centre Alfred Binet, spécialiste des troubles du langage et de la communication, il est l'auteur de nombreux ouvrages. Il a participé aux séminaires donnés par Gisèle Gelbert lorsqu'elle était consultante au Centre Alfred Binet, pendant 5 ans. Elle rendait son diagnostic pour des enfants suivis au Centre, ou elle expliquait les résultats obtenus par les orthophonistes y pratiquant le travail aphasiologique. Dans son ouvrage « Les troubles du langage et de la communication chez l'enfant» (Que Sais-je? PUF, 2004), il consacre deux pages aux Troubles de type aphasique. Il a également participé à la Journée scientifique de 2006 (voir le DVD « Lire? Ecrire? Pourquoi pas moi ! » ).

René DIATKINE (1918-1998)

Psychiatre, psychanalyste, co-fondateur de la Revue de Psychiatrie de l'Enfant et co-auteur du Traité de Psychiatrie de l'Enfant, membre de la Société Psychanalytique de Paris, il a été une des figures les plus importantes de la psychanalyse française. A la fin des années 50, il créera, avec Serge LEBOVICI et Philippe PAUMELLE, le Centre de santé mentale du 13ème arrondissement à Paris, qui deviendra le CENTRE ALFRED BINET. En 1958, il propose à Gisèle Gelbert, alors orthophoniste auprès de Suzanne Borel-Maisonny, d'y créer le secteur orthophonie. Gisèle Gelbert travaillera à ses côtés comme orthophoniste pendant quatre ans. Devenue médecin, elle sera Consultant Expert Aphasiologue au Centre Alfred Binet pendant 5 ans. René Diatkine a toujours porté un vif intérêt aux travaux de Gisèle Gelbert, a inclus la pathologie spécifique des troubles de type aphasique dans son approche diagnostique des troubles du langage. Il participe en 1990 à la Journée Scientifique sur les Troubles de type aphasique chez l'enfant, à Versailles. Son exposé a été publié dans les Actes de cette journée (voir bibliographie).

Caroline ELIACHEFF

Pédopsychiatre, psychanalyste, auteur de nombreux ouvrages et scénariste. C'est en tant que médecin responsable du Centre Médico-Psychologique d'Issy-les-Moulineaux qu'elle a adressé à Gisèle Gelbert le jeune Simon, âgé de 11 ans, non-lecteur et non-transcripteur malgré un parcours thérapeutique parfaitement adapté. Gisèle Gelbert a porté le diagnostic de troubles de type aphasique et a, pour la première fois, appliqué le travail aphasiologique, démontrant sa justesse et son efficacité: en 60 séances Simon est devenu lecteur et transcripteur. Une riche collaboration a suivi cette première rencontre. Le cas de Simon a été publié dans la Revue de Psychiatrie de l'Entant (n°XXXII, 1989, p.123 à 160). Elle soutient et encourage les travaux de Gisèle Gelbert sur les troubles de type aphasique, préface son premier ouvrage ("Lire, c'est vivre") et écrit des articles dans la presse:- «Pour en finir avec la banalisation de l'illettrisme» (Le Figaro, 28 janvier 1994)- « J'en ai assez» (Le Figaro, 8 mai 1996). Dans son livre « La famille dans tous ses états» (Albin Michel), rassemblant ses chroniques hebdomadaires sur France Culture, elle lui consacre un chapitre intitulé « B.A- BA» (p 40). Caroline Eliacheff a participé aux trois Journées Scientifiques (voir les programmes des Journées )

Lucien KOKH

Psychiatre et psychanalyste théoricien, il est le premier à étudier de près les travaux de Gisèle Gelbert: il les commente et les analyse de façon très approfondie dans l'ouvrage intitulé: «Lucien Kokh, psychanalyste, commente Gisèle Gelbert, neurologue» (Editions ISOSCEL, Papyrus, novembre 1990). Il assistera pendant plusieurs années aux séminaires sur les Troubles de type aphasique, donnés par Gisèle Gelbert dans le cadre de l' APRETTA. Il participe aux Journées scientifiques sur les Troubles de type aphasique, en 1990 et 1995 (voir les programmes de ces Journées ).

Martine LEGRAIN

Orthophoniste à Versailles

Fabienne MAILLOT

Orthophoniste à Evry

Jean METELLUS

Neurologue, aphasiologue, docteur en linguistique, écrivain et poète. Praticien Hospitalier - Médecin des Hôpitaux au Centre Hospitalier Émile Roux à Limeil-Brévannes, spécialiste des troubles de la parole, il a invité à plusieurs reprises Gisèle Gelbert à participer aux Colloques organisés dans son service. A son tour, il participe à la Journée Scientifique de 2006. Sa communication peut être consultée dans le DVD « Lire? Écrire? Pourquoi pas moi ! »

Aldo NAOURI

Pédiatre ayant reçu une formation psychanalytique. Spécialiste renommé des relations intrafamiliales, ses nombreux ouvrages sont devenus des références en la matière. Il participe en juin 2006 à la Journée scientifique sur les Troubles de type aphasique, où il expose longuement sa collaboration avec Gisèle Gelbert (retrouver son intervention sur le DVD « Lire? Ecrire? Pourquoi pas moi! » )

Michèle PESTRE

Neurologue, épileptologue, elle collabore avec Gisèle Gelbert depuis plusieurs années. Elle reçoit les enfants chez lesquels Gisèle Gelbert a suspecté des manifestations comitiales au cours du bilan ou des rééducations. Elle pratique des électroencéphalogrammes, standard, de sommeil ou de 24 heures, et, à la demande, complète l'examen neurolinguistique du docteur Gelbert par un examen somatique. Elle a participé à la Journée scientifique de 2006 (voir le DVD « Lire? Ecrire? Pourquoi pas moi? » ).

Lucie PEYRACCHIA-MATTEODO

Orthophoniste, co-fondatrice avec Suzanne Borel-Maisonny du CEOP (Centre Expérimental Orthophonique et Pédagogique), établissement spécialisé dans la prise en charge d'enfants atteints de surdité. Elle en sera la Directrice jusqu'en janvier 1993. Elle participera à l'hôpital Armand Trousseau aux examens d'enfants candidats à l'implantation cochléaire.

L'observation d'enfants sourds pour lesquels la rééducation, même très spécialisée, n'apportait pas les résultats habituels, la conduit à s'intéresser aux troubles de type aphasique. Elle leur reconnaît cette pathologie, suit alors la formation du Docteur G. Gelbert et applique avec succès le travail aphasiologique auprès de ces enfants. Elle fait de nombreuses interventions auprès des orthophonistes et des professeurs de sourds, dans ces établissements spécialisés, afin de reconnaître les troubles de type aphasique pouvant exister chez des enfants atteints de surdité, appareillés ou implantés.

Didier SAMAIN

Maître de conférences en linguistique française à l'Université de Paris VII. Responsable de la revue SÉMIOTIQUES (CNRS et Institut National de Langue Française, Paris. Didier. 1991-2001 - Collection Erudition-. Revue bi-annuelle. ISSN /160-9907) , il propose à Gisèle Gelbert de participer au n°18/19, décembre 2000, consacré aux « Incidences de l'impossible dans le langage ». Cet article aura pour titre: « L'impossible du langage pathologique ».

Madeleine VAN WAEYENBERGHE

Orthophoniste au Centre Alfred Binet

Martine VERCELLETTO

Neurologue. Praticien hospitalier CHU Nantes-Nord